La CVA, une réforme qui parle à toute la classe politique

Partie d’une idée qui circule dans les marges de la gauche radicale
— là où l’on parle de socialisation de la valeur, de salaire politique ou de critique du “coût du travail” —
sur les traces d’Ambroise Croizat et de notre modèle social si cher à notre Président, la CVA s’impose aujourd’hui comme une réforme désirable jusque chez les libéraux.
Problème : ils ne parlent pas la même langue.

Les syndicalistes

« La CVA étend le salaire socialisé à toute la valeur ajoutée, y compris celle des plateformes et des multinationales.
C’est une réforme qui rééquilibre les contributions, renforce les caisses, et redonne du pouvoir aux travailleurs. »

Les entrepreneurs

« La CVA supprime les cotisations sur les salaires et les remplace par une contribution sur la valeur ajoutée.
Résultat : un coût du travail allégé, une assiette élargie,
et un système plus simple,
plus lisible, plus neutre économiquement. »

Les écologistes

« La CVA rend possible une modulation écologique des contributions :
produire ici, proprement, devient un avantage.
C’est une réforme juste, compatible avec la transition, et centrée sur la création réelle de valeur. »

Les libéraux

« La CVA remplace les cotisations patronales par un taux unique sur la valeur ajoutée.
Moins de niches, moins de distorsions, moins de charges sur l’emploi. Une fiscalité stable, neutre, et favorable à l’investissement. »

Comprendre la logique de la CVA

Une idée simple, mais qui change tout.

Depuis leur création en 1945, les cotisations sociales patronales sont calculées en pourcentage des salaires versés.
On a fini par appeler cela un « coût du travail ». Pourtant, à l’origine, c’était une contribution du capital à la solidarité nationale.

Résultat aujourd’hui : plus une entreprise emploie, plus elle cotise,  même si elle ne fait pas beaucoup de bénéfices.
À l’inverse, une entreprise qui automatise ou délocalise peut produire beaucoup… tout en contribuant peu.

Ce que ça change :

  • Un effort mieux réparti
  • Toutes les entreprises contribuent, qu’elles embauchent ou non.
  • On évite les injustices entre secteurs (ex : industrie vs numérique).

Un financement plus stable

En élargissant la base, on rend le système plus résilient : moins dépendant de l’emploi salarié.

Moins de pression sur l’embauche

En supprimant les charges sur les salaires, on facilite l’embauche en CDI, au lieu de multiplier les contrats précaires.

Une réforme qui interroge

Pourquoi faire peser la solidarité uniquement sur les salaires,  alors que la richesse vient de toute l’organisation productive ?


Stabilité et prévisibilité

La valeur ajoutée est déjà connue des entreprises (TVA, IS).
Cela permet une intégration sans bouleversement majeur des systèmes déclaratifs ni effet de seuil.

CVA - distribuer la richesse par la cotisation sociale assise sur la valeur ajoutée

parce que La CVA est une idée universelle,
nous l’avons traduite en plusieurs langues (politiques).

La cotisation sur la valeur Ajoutée (CVA) peut rassembler au-delà des clivages.
Car si nous avons des sensibilités différentes, nous cherchons souvent la même chose :
l’équité, la justice, la prospérité, l’efficacité ou la stabilité.

CVA_GPT adapte son registre de vocabulaire pour mieux se faire comprendre, 
mais sans jamais trahir le fond de la réforme.

Exemples : 

— « Je suis militante CGT, en quoi la CVA est elle utile à nos revendications .” 
— “Je suis chef d’entreprise, concrètement, la CVA va changer quoi ?”
— “Je suis Gabriel Attal, la CVA peut elle intégrer mon programme ? »
— “Je suis Jean-Luc Mélenchon, la CVA peut elle intégrer mon programme ?” 



Signez la pétition pour imposer la CVA à l’assemblée nationale

Ils soutiennent la CVA

Ils vous disent pourquoi ils ont signé la pétition pour un vrai débat à l’Assemblée

« Parce que c’est la première réforme que je vois qui baisse les charges sur le travail sans baisser les droits. C’est juste. »

Karim

43 ans

« Si ça peut garantir nos retraites sans baisser les pensions, alors oui. Pourquoi on n’y a pas pensé plus tôt ? »

Claire

67 ans

« Je bosse seul, les GAFAM font des milliards. Là au moins, ils paieront aussi pour la solidarité. »

Julien

34 ans

« Si ça peut enfin aider les jeunes à décrocher un job payé correctement, je signe tout de suite. »

Sarah

22 ans

Pourquoi une pétition ?

L’Assemblée nationale dispose d’une plateforme qui permet de lui adresser des pétitions 
et de signer des pétitions déjà enregistrées.
Les pétitions peuvent être débattues par les députés dans l’une des huit commissions permanentes de
l’Assemblée nationale et, sous certaines conditions, en séance publique.
les differentes etapes du parcours d'une pétition a l'assemblée nationale

Signez la pétition pour imposer de débattre de la CVA à l’assemblée nationale

Contact

Une question, un retour, une proposition ?

Nous sommes à l’écoute de toutes celles et ceux qui veulent faire avancer le débat.
Que vous soyez chercheur·e, syndicaliste, entrepreneur·e, étudiant·e ou citoyen curieux — parlons-en.


En savoir plus sur la CVA

La Cotisation sur la Valeur Ajoutée (CVA) est une proposition innovante pour financer notre protection sociale autrement.  Elle repose sur un principe simple : faire contribuer les entreprises en fonction de la richesse qu’elles créent, pas seulement en fonction des salaires versés.

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