🎯 Pourquoi lire ce mémoire CVA ?
Ce mémoire explore une réforme audacieuse mais rigoureuse : remplacer les cotisations patronales par une cotisation sur la valeur ajoutée (CVA), modulée selon l’intensité salariale.
- 🔍 Il déconstruit le mythe du “coût du travail” avec clarté
- 🧠 Il montre que l’assiette des cotisations est un choix politique, pas une donnée naturelle
- 📊 Il propose une modélisation concrète avec des données INSEE
- 🛠️ Il s’adresse autant aux technocrates qu’aux militants, aux journalistes qu’aux artisans
Ce n’est pas un texte académique de plus. C’est une tentative de réconcilier économie, justice et lisibilité.
📢 Une réforme qui parle à toute la classe politique
Née dans les marges de la gauche radicale — là où l’on parle de socialisation de la valeur, de salaire politique ou de critique du “coût du travail” — la CVA s’impose aujourd’hui comme une réforme désirable autant au sein de la gauche réformiste que chez les libéraux convaincus.
À condition de parler leur langue.
💬 Exemple côté CGT :
“Aujourd’hui, le financement de la Sécu repose trop sur le travail. La CVA permet de faire contribuer toutes les entreprises à la hauteur de la valeur qu’elles créent — y compris les plateformes, les groupes financiers et les automatisations.”
💬 Exemple côté MEDEF :
“En basculant les cotisations vers la valeur ajoutée, on allège le coût du travail sans réduire les droits sociaux. C’est une réforme pro-emploi, qui renforce la compétitivité et favorise les investissements tout en assurant un financement solide des retraites.”
👉 La CVA n’est pas une utopie. C’est un levier de justice contributive et de modernisation économique — quelle que soit votre sensibilité politique.